Briser le contrat racial : redéfinir l’histoire

Convergence culturelle : Neolabs fait la chronique de l’effervescence de l’événement « Le Contrat Racial »

Dans une célébration du discours intellectuel et de la richesse culturelle, Neolabs a eu l’honneur de capturer l’essence de l’événement entourant la sortie française de l’œuvre phare de Charles W. Mills, « Le Contrat Racial », traduit par Aly Ndiaye, également connu sous le nom de Webster. La soirée s’est déroulée à la Maison de la culture Claude-Léveillée, offrant un mélange de discussions, de lectures et de performances musicales qui ont mis en lumière le pouvoir transformateur de l’œuvre de Mills.

À la découverte du « Contrat racial » : un voyage dans la philosophie sociale :

Le point d’orgue de l’événement a été la plongée dans « Le Contrat Racial » de Charles W. Mills, un ouvrage pionnier qui, pour la première fois, est devenu disponible en français grâce à la traduction habile d’Aly Ndiaye. L’exploration par le philosophe du contrat social comme étant intrinsèquement racial sert d’analyse critique de notre monde moderne, mettant en lumière les inégalités qui persistent et les dynamiques d’exclusion qui façonnent nos sociétés.

17h à 19h : Briser le cercle du contrat racial – Voix dévoilées :

L’événement a débuté par un captivant « Cercle de parole » de 17h à 19h, où auteurs, artistes et lecteurs ont partagé leurs réflexions sur l’impact transformateur du travail de Mills. En se penchant sur les changements fondamentaux qu’elle a apportés à leurs perspectives sur le monde, le racisme et l’exclusion, les participants ont exploré les implications profondes d’un contrat social entrelacé avec des dynamiques raciales. Aly Ndiaye, traductrice du Contrat Racial, historienne et artiste hip-hop, a participé activement à cette discussion éclairante.

19h30 à 21h : ‘Les racistes n’ont jamais vu la mer’ – Une odyssée musicale théâtrale :

La soirée s’est poursuivie avec un spectacle envoûtant intitulé « Les racistes n’ont jamais vu la mer » de 19h30 à 21h. Cette expérience immersive mêlait lectures et musique, donnant vie à des extraits de l’œuvre. Mettant en vedette les talents de Rodney Saint-Éloi, Yara El-Ghadban, et l’accompagnement mélodique de Zal Sissokho à la kora et Mamadou Koita au balafon, le spectacle s’est déroulé comme une puissante exploration des dynamiques raciales.

Chronique artistique de Neolabs : Documenter l’inoubliable :

Au milieu de la ferveur intellectuelle et de l’exploration culturelle, Neolabs s’est lancé dans une opération malhonnête pour immortaliser cet événement transformateur. Notre équipe a habilement capturé les moments candides, les échanges intellectuels et l’atmosphère chargée d’émotion, en veillant à ce que l’effervescence de la soirée soit préservée pour la postérité.

L’héritage en pixels : partager la tapisserie culturelle :

À travers le prisme de Neolabs, l’événement « Le Contrat Racial » devient un récit visuel, un héritage en pixels qui capture la convergence de l’exploration intellectuelle et de l’expression artistique. L’importance de l’événement pour favoriser le dialogue et la compréhension est immortalisée, faisant écho à l’impact profond du travail de Mills sur les personnes réunies.

Au fur et à mesure que les images se déroulent, Neolabs contribue fièrement au récit de la convergence culturelle, de l’exploration intellectuelle et de la poursuite durable de la justice sociale. Les pixels racontent une histoire – une histoire de briser les barrières, de défier les normes et de lutter pour un monde où le contrat racial est remplacé par un autre qui embrasse l’inclusion et l’égalité.

Partager ce projet